La plupart du temps quand j’explore un lieu, j’arrive un peu à retracer son histoire a posteriori. Cependant, je n’ai rien trouvé concernant l’usine crochet. Je n’ai pas la moindre idée sur ce qu’elle pouvait produire.
Quoiqu’il en soit, elle est devenue le terrain de jeu idéal pour les graffeurs en herbe ou les gamins du coin à la recherche de frissons. Il n’y a plus un mur qui n’ait pas été repeint.
Je trouve que la structure du lieu lui confère même un petit air de galerie d’art underground, notamment grâce à la lumière tombant directement sur les graffitis et ses grands volumes.
Au final, l’exploration a été assez rapide car l’usine n’est pas très grande et complétement vide.
On en a donc profité pour prendre le temps laisser notre signature, marque de notre passage, en attendant que le temps finisse par l’effacer.











